Trop, c’est trop !

Des collègues qui quittent leur poste parce qu'ils ne s'y retrouvent pas, d'autres qui ne continuent pas avec nous, d'autres qui nous ont rejoint il y a moins d'un an et qui n'envisagent pas la suite avec nous, et d'autres, qui épuisés, baissent les bras, trop atteints dans leurs valeurs...

• Une réorganisation de service menée en run, une seule ?

• Une application de process inadaptée à notre CR et donc aux collègues.

• Des tests hyper sollicitants.

• Des objectifs commerciaux toujours plus importants.

• Des postes vacants.

• Des audios/visios et réunions en tout genre et pour tout et dont l'efficacité pour certaines reste à prouver...

• Et une rémunération dont l'augmentation ne couvre pas l'inflation.

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Mais après quoi court-on ?

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Et ailleurs...

La CR des Côtes d'Armor qui vient de connaître un débrayage, particulièrement suivi.Ce débrayage a été l'occasion pour tous nos collègues mécontents, d'exprimer leur ras le bol face à une direction sourde à leur mal être, deja dénoncé, il y a plus d'un an !La pression commerciale, les process dégradés, la souffrance des agris et des pros, les tests et pilotes dans tous les sens et pour tout, sans compter celui de l'hyper joignabilité qui en rajoute à une charge déjà incroyable, les ateliers du projet d'entreprise qui éloignent les collègues de leur poste, les postes vacants, etc...

Et puis dans une CR du sud où l'un de nos collègues a tenté l'irréparable....

Nous ne voulons pas en arriver là !

Ces informations doivent nous pousser à reflechir collectivement pour eviter cela !

N'attendons pas 1 an...

Le SNECA prendra ses responsabilités et ne laissera pas la machine s'emballer.